Les débuts chaotiques de la vaccination en Europe sont le révélateur de la désindustrialisation européenne. Ce lourd prix à payer était-il nécessaire à la prise de conscience des erreurs stratégiques
[singlepic id=624 w=320 h=240 float=left]Invité par les députés de l’Assemblée nationale à venir expliquer la stratégie du champion national du médicament, 4ème groupe mondial, Christian Lajoux, le président de Sanofi
[singlepic id=583 w=320 h=240 float=left]La Fédération européenne des industries et associations pharmaceutiques (EFPIA) vient d’élire à sa tête Chris Viehbacher (photo), directeur général depuis décembre 2008 du groupe Sanofi, 4ème
[singlepic id=577 w=320 h=240 float=left]Dans un premier ouvrage paru en 2010 (1), le président du LEEM (photo) annonçait le « temps des alliances » avec le monde de la pharma (2). Mais
[singlepic id=556 w=320 h=240 float=left]Le groupe français n° 4 mondial du médicament va poursuivre sa stratégie de restructuration et de délocalisation en Asie. C’est la suite logique d’un mouvement engagé
[singlepic id=387 w=320 h=240 float=left]Comme en 2007, les entreprises du médicament regroupées sous la bannière du LEEM, entendent s’inviter dans le débat des présidentielles. Annoncée il y a quelques jours,
[singlepic id=341 w=320 h=240 float=left]Alors que la Commission européenne pronostique une croissance de 0,6 % l’an prochain – contre 1 % annoncé récemment par le gouvernement Fillon – et réclame
[singlepic id=301 w=320 h=240 float=left]Laurent Wauquiez, ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, appelle de ses vœux les partenariats public/privé. Dans la pharma, où le business model de l’industrie