[singlepic id=117 w=320 h=240 float=left]Les dernières données américaines, européennes et françaises confirment une panne durable de l’innovation. Les résultats ne sont plus au rendez-vous. Aux Etats-Unis, où le secteur public
Le syndicat professionnel des industriels du médicament (LEEM) vient de faire savoir qu’il rompt son contrat avec le mensuel Pharmaceutiques. Une rupture qui signe la fin d’une époque : celle
[singlepic id=196 w=320 h=240 float=left]La France resterait, selon le LEEM, un grand pays de recherche clinique, mais les industriels du médicament qui y sont installés progressent moins vite que dans
[singlepic id=160 w=320 h=240 float=left]François Autain (photo), président de la commission commune d’information sur le Mediator, recevait le 28 avril dernier les responsables du Leem pour une audition au Sénat.
Pour la 3ème année consécutive le marché français du médicament remboursé par l’assurance-maladie ne progresse que très faiblement, autour de 1 % en 2010, pour un total de 27,2 milliards
Le développement de la production pharmaceutique en France reste conditionné à celui de la branche en général : la baisse de l’innovation et de la mise sur le marché de nouveaux produits, la générication croissante du marché lié à la perte des brevets des princeps, constribuent à une diminution à terme des fabrications de médicaments. Une diminution tendancielle qui ne sera qu’enrayée par les mesures gouvernementales du CSIS. Les sous-traitants de la pharma misent sur la possibilité de fabriquer davantage de génériques en France.